L’administrateur du territoire d’Aru dénonce la présence d’un groupe d’officiers de l’ancienne rébellion des Forces armées populaires du Congo, F.A.P.C dans le district frontalier de Koboko, en Ouganda. Il soupçonne ces officiers d’organiser depuis cette localité le recrutement des ex démobilisés du territoire d’Aru, rapporte radiookapi.net
L’administrateur du territoire d’Aru, Mawa Enzongozi affirme que plusieurs habitants de son entité ont vu pendant leur séjour à Koboko en Ouganda un groupe de ces officiers. Il s’agit notamment du major José Munyato, du colonel Ali Mbuy, du capitaine Wanisho et du major Sami, tous anciens de FAPC de Jérôme Kakwavu. Selon lui, ces hommes disposeraient d’un camp de regroupement des ex combattants à Pamodo, un village ougandais situé à 10 kilomètres de la frontière avec la RDC. Ces ex combattants sont estimés à environ 200 venus notamment des localités congolaises d’Ariwara, d’Igbokolo et d’Aru centre.
Selon le chef de la collectivité de Kakwa, au cours d’une réunion tenue le 9 octobre dernier à Ombatshi avec ses homologues ougandais de Koboko et sud soudanais de Morobu, un officier de la police ougandaise a refuté les allégations de recrutement des ex combattants. D’après toujours cet officier, ces anciens miliciens congolais feraient le commerce entre l’Ouganda et le Soudan.
Par contre, les autorités ougandaises présentes à cette rencontre ont accusé leur homologue congolais d’héberger les rebelles de la LRA. Face à cette situation, les trois parties ont décidé de se rencontrer au début du mois de novembre à Kaya, au Sud soudan pour discuter de ce problème de sécurité à la frontière de trois pays.
(okapi)
lundi 20 octobre 2008
jeudi 9 octobre 2008
Ituri : plus de 40 000 déplacés de guerre déjà enregistrés
Depuis le déclenchement des hostilités il y a 10 jours entre les FARDC et les miliciens du Front populaire pour la justice au Congo, FPJC, en Ituri, plus de 40 000personnes déplacées sont enregistrées en Ituri dont la majorité sont sans assistance humanitaire, rapporte radiookapi.net
Le dernier groupe de déplacés a fui mercredi les affrontements entre parties belligérantes aux environs de Songolo à plus de 45 kilomètres au sud de Bunia. La plupart de ces déplacés qui sont sans vivres ni médicaments passent la nuit à la belle étoile. Ces informations sont livrées par les autorités coutumières locales qui continuaient encore ce jeudi matin d’accueillir de nouveaux ménages fuyant les zones de combats. Selon le chef de la chefferie de Basilia Komanda, à environ 80 kilomètres au sud de Bunia, tous les habitants de Kombo, Kabwe et une partie de Ngadjo dont la population estimée à 2 000 personnes ont déserté le même mercredi leurs villages d’origine. Ils sont allés trouver leur refuge, notamment, dans les localités de Tshayi et de Bandiya, à environ 40 kilomètres au sud Bunia. D’autres ont préféré aller plutôt dans la brousse, d’après la même source.. De son côté, le chef de collectivité de Bayimasita a affirmé que plus de 8 000 déplacés sont déjà arrivés dans son entité à Kasenyi, au bord du lac Albert. A Songolo, également, certains notables on signalé la présence de 13 000 déplacés environ, dont certains ont fui à Tchay à cause des combats de mercredi. Tous ces déplacés n’ont pas encore bénéficié d’une assistance humanitaire en dehors de ceux du village de Kotoni, évalués à 8 000 personnes. Le chef de bureau de Ocha Ituri déclare ne pas disposer de statistiques sur ces déplacés. Il déplore notamment la situation sécuritaire qui ne permet pas aux agences humanitaires d’accéder à ces régions.(okapi)
Le dernier groupe de déplacés a fui mercredi les affrontements entre parties belligérantes aux environs de Songolo à plus de 45 kilomètres au sud de Bunia. La plupart de ces déplacés qui sont sans vivres ni médicaments passent la nuit à la belle étoile. Ces informations sont livrées par les autorités coutumières locales qui continuaient encore ce jeudi matin d’accueillir de nouveaux ménages fuyant les zones de combats. Selon le chef de la chefferie de Basilia Komanda, à environ 80 kilomètres au sud de Bunia, tous les habitants de Kombo, Kabwe et une partie de Ngadjo dont la population estimée à 2 000 personnes ont déserté le même mercredi leurs villages d’origine. Ils sont allés trouver leur refuge, notamment, dans les localités de Tshayi et de Bandiya, à environ 40 kilomètres au sud Bunia. D’autres ont préféré aller plutôt dans la brousse, d’après la même source.. De son côté, le chef de collectivité de Bayimasita a affirmé que plus de 8 000 déplacés sont déjà arrivés dans son entité à Kasenyi, au bord du lac Albert. A Songolo, également, certains notables on signalé la présence de 13 000 déplacés environ, dont certains ont fui à Tchay à cause des combats de mercredi. Tous ces déplacés n’ont pas encore bénéficié d’une assistance humanitaire en dehors de ceux du village de Kotoni, évalués à 8 000 personnes. Le chef de bureau de Ocha Ituri déclare ne pas disposer de statistiques sur ces déplacés. Il déplore notamment la situation sécuritaire qui ne permet pas aux agences humanitaires d’accéder à ces régions.(okapi)
Situation militaire ituri 08 OCTOBRE 2008(Lt Col Jean-Paul Dietrich, Porte-parole Militaire-monuc)
En Ituri, la situation sécuritaire dans les zones au Sud du territoire d’Irumu s’est rapidement détériorée la semaine dernière suite aux attaques soutenues sur les positions des Forces Armées de la République démocratique du Congo (FARDC) menées par des combattants armés. En plus, il est désormais évident que les éléments dissidents du Front de résistance patriotique de l’Ituri (FRPI) ont adhéré à l’alliance regroupant les autres groupes armés pour créer un nouveau mouvement appelé Front Populaire pour la Justice au Congo (FPJC).
Le 29 septembre 2008, le FRPI a attaqué simultanément les camps des FARDC à Tchey et à Quinz avec des armes lourdes, des mortiers et des armes légères.
Le 30 septembre 2008, les combats commencés le 29 septembre 2008 entre les FARDC et le FRPI se sont poursuivis dans la zone de Tchey. Les FARDC qui se sont repliées de Tchey vers Kamatsi et Aveba, sont parvenues avec l’aide des hélicoptères de combat de la Force de la MONUC à reprendre le contrôle de Bavi, situé à 60 kilomètres au Sud de Bunia, mais Tchey est demeuré sous le contrôle des miliciens du FRPI. Par ailleurs, des rapports signalent la présence de plus de 250 miliciens basés autour de Geti et de Kagaba.
Le même jour, deux convois séparés de la Force de la MONUC qui escortaient des munitions et d’autres approvisionnements des FARDC sont tombés dans des embuscades à des endroits différents. C’est ainsi que l’attaque du premier convoi sur l’axe Aveba-Bogoro a produit un important échange de coups de feu comme pour l’attaque du second convoi en provenance de Bogoro près de Kagaba, situé à 40 kilomètres au Sud de Bunia, où les miliciens armés ont attaqué trois véhicules blindés de la Force de la MONUC provoquant des blessures légères sur quatre Casques Bleus suite au bris de glaces.
Le 2 octobre 2008, les éléments du FRPI ont ouvert le feu sur deux hélicoptères de la MONUC qui étaient en reconnaissance sur Tchey. A la même date, le FRPI a tendu une embuscade aux FARDC et a saisi deux camions des munitions. Cet incident majeur, est le deuxième survenu dans moins d’une semaine.
Le 3 octobre 2008, de nouveaux accrochages entre les FARDC et le FRPI ont été signalés à Kagaba, situé à 12 kilomètres à l’Est d’Aveba, et à Geti, situé à 35 kilomètres au Nord-est d’Aveba.
Le 29 septembre 2008, le FRPI a attaqué simultanément les camps des FARDC à Tchey et à Quinz avec des armes lourdes, des mortiers et des armes légères.
Le 30 septembre 2008, les combats commencés le 29 septembre 2008 entre les FARDC et le FRPI se sont poursuivis dans la zone de Tchey. Les FARDC qui se sont repliées de Tchey vers Kamatsi et Aveba, sont parvenues avec l’aide des hélicoptères de combat de la Force de la MONUC à reprendre le contrôle de Bavi, situé à 60 kilomètres au Sud de Bunia, mais Tchey est demeuré sous le contrôle des miliciens du FRPI. Par ailleurs, des rapports signalent la présence de plus de 250 miliciens basés autour de Geti et de Kagaba.
Le même jour, deux convois séparés de la Force de la MONUC qui escortaient des munitions et d’autres approvisionnements des FARDC sont tombés dans des embuscades à des endroits différents. C’est ainsi que l’attaque du premier convoi sur l’axe Aveba-Bogoro a produit un important échange de coups de feu comme pour l’attaque du second convoi en provenance de Bogoro près de Kagaba, situé à 40 kilomètres au Sud de Bunia, où les miliciens armés ont attaqué trois véhicules blindés de la Force de la MONUC provoquant des blessures légères sur quatre Casques Bleus suite au bris de glaces.
Le 2 octobre 2008, les éléments du FRPI ont ouvert le feu sur deux hélicoptères de la MONUC qui étaient en reconnaissance sur Tchey. A la même date, le FRPI a tendu une embuscade aux FARDC et a saisi deux camions des munitions. Cet incident majeur, est le deuxième survenu dans moins d’une semaine.
Le 3 octobre 2008, de nouveaux accrochages entre les FARDC et le FRPI ont été signalés à Kagaba, situé à 12 kilomètres à l’Est d’Aveba, et à Geti, situé à 35 kilomètres au Nord-est d’Aveba.
Situation militaire ituri 08 OCTOBRE 2008(Lt Col Jean-Paul Dietrich, Porte-parole Militaire-monuc)
En Ituri, la situation sécuritaire dans les zones au Sud du territoire d’Irumu s’est rapidement détériorée la semaine dernière suite aux attaques soutenues sur les positions des Forces Armées de la République démocratique du Congo (FARDC) menées par des combattants armés. En plus, il est désormais évident que les éléments dissidents du Front de résistance patriotique de l’Ituri (FRPI) ont adhéré à l’alliance regroupant les autres groupes armés pour créer un nouveau mouvement appelé Front Populaire pour la Justice au Congo (FPJC).
Le 29 septembre 2008, le FRPI a attaqué simultanément les camps des FARDC à Tchey et à Quinz avec des armes lourdes, des mortiers et des armes légères.
Le 30 septembre 2008, les combats commencés le 29 septembre 2008 entre les FARDC et le FRPI se sont poursuivis dans la zone de Tchey. Les FARDC qui se sont repliées de Tchey vers Kamatsi et Aveba, sont parvenues avec l’aide des hélicoptères de combat de la Force de la MONUC à reprendre le contrôle de Bavi, situé à 60 kilomètres au Sud de Bunia, mais Tchey est demeuré sous le contrôle des miliciens du FRPI. Par ailleurs, des rapports signalent la présence de plus de 250 miliciens basés autour de Geti et de Kagaba.
Le même jour, deux convois séparés de la Force de la MONUC qui escortaient des munitions et d’autres approvisionnements des FARDC sont tombés dans des embuscades à des endroits différents. C’est ainsi que l’attaque du premier convoi sur l’axe Aveba-Bogoro a produit un important échange de coups de feu comme pour l’attaque du second convoi en provenance de Bogoro près de Kagaba, situé à 40 kilomètres au Sud de Bunia, où les miliciens armés ont attaqué trois véhicules blindés de la Force de la MONUC provoquant des blessures légères sur quatre Casques Bleus suite au bris de glaces.
Le 2 octobre 2008, les éléments du FRPI ont ouvert le feu sur deux hélicoptères de la MONUC qui étaient en reconnaissance sur Tchey. A la même date, le FRPI a tendu une embuscade aux FARDC et a saisi deux camions des munitions. Cet incident majeur, est le deuxième survenu dans moins d’une semaine.
Le 3 octobre 2008, de nouveaux accrochages entre les FARDC et le FRPI ont été signalés à Kagaba, situé à 12 kilomètres à l’Est d’Aveba, et à Geti, situé à 35 kilomètres au Nord-est d’Aveba.
lundi 6 octobre 2008
Ituri : FPJC, une nouvelle milice est née
Les miliciens qui se battent aux FARDC ne se reconnaissent pas dans la Force de Résistance Patriotique de l’Ituri, FRPI, une ancienne milice dont les combattants sont essentiellement de l'ethnie Ngiti. Joints au téléphone depuis mercredi dernier, certains de leurs responsables déclarent qu’ils combattent au nom d’un nouveau groupe armé. Il s’agit du Front populaire pour la justice au Congo, . Dans leur structure opérationnelle, figurent les noms de certains anciens chefs miliciens de l’Ituri, issus de plusieurs communautés ethniques, rapporte radiookapi.net
Bunia : les produits vivriers se raréfient
Après la reprise des combats la semaine dernière, les conséquences sont de plus de plus visible dans le territoire d'Irumu. Selon le coordonnateur des ONG de droit de l'homme de l'Ituri, les produits vivriers se raréfient à Bunia avec la fermeture de l'axe Bunia Bogoro Kasenye, radiookapi.net
Gilbert Tandia, coordonnateur des associations de droit de l'homme de L'Ituri : « Vous savez là où ils combattent ; l’axe qui mène vers Bogoro et Kasenye et vers Tsheyi. Les poissons viennent du lac. Aujourd’hui, si vous arrivez sur le marché de Bunia, il n’y a plus des poissons, sauf les stocks qui ont existé. C’est du coté de la collectivité de Walendu Bindi où viennent les cossettes de manioc et beaucoup d’autres produits vivriers, et maintenant avec l’afflux des déplacés, les gens ne vont plus aux champs, les cossettes de manioc manquent sur le marché. Ça causse la famine à Bunia. »
okapi
Gilbert Tandia, coordonnateur des associations de droit de l'homme de L'Ituri : « Vous savez là où ils combattent ; l’axe qui mène vers Bogoro et Kasenye et vers Tsheyi. Les poissons viennent du lac. Aujourd’hui, si vous arrivez sur le marché de Bunia, il n’y a plus des poissons, sauf les stocks qui ont existé. C’est du coté de la collectivité de Walendu Bindi où viennent les cossettes de manioc et beaucoup d’autres produits vivriers, et maintenant avec l’afflux des déplacés, les gens ne vont plus aux champs, les cossettes de manioc manquent sur le marché. Ça causse la famine à Bunia. »
okapi
vendredi 3 octobre 2008
UN helicopters respond to rebel attack in eastern DR Congo-reliefweb
United Nations attack helicopters firing rockets went into action in the eastern Democratic Republic of the Congo (DRC) today after rebels attempting to advance against the Government opened fire on UN reconnaissance planes.
The UN action was the latest in a series of strikes against the rebel Ituri Patriotic Resistance Front (FRPI) in Ituri province, and comes less than two weeks after peacekeepers from the UN Mission in the DRC (MONUC) sent in combat helicopters against another rebel group in North Kivu province, to the south.
"MONUC is intervening with all the means at its disposal, including attack helicopters, to protect the civilian population which is in imminent danger," the mission said in a news release. "Moreover MONUC is cooperating with the DRC armed forces to re-establish state authority over the whole of Ituri."
Residual FRPI elements launched attacks on Monday against the army, capturing two camps and advancing towards the village of Aveba before they were repulsed by MONUC.
On September 19, UN helicopters opened fire on the rebel National Congress for People's Defence (CNDP) in North Kivu, forcing them to withdraw after they tried to take control of a town 60 kilometres from the region's main city, Goma.
Humanitarian and human rights organizations are reporting a sharp increase in the recruitment of child soldiers by armed groups in North Kivu, a crime against humanity and a violation of an agreement they signed at the beginning of the year, MONUC spokesman Michel Bonnardeaux told a news conference today in Kinshasa, the DRC capital.
Hostilities have continued in eastern DRC despite stabilization in much of the rest of the vast country, which was torn by years of civil war. On Monday, the DRC called for UN peacekeepers to be given a clear mandate and the resources necessary to impose peace by force if necessary.
"Confronted by the drama occurring in the east of the Congo, MONUC must be authorized to act, and can act in a convincing manner," Permanent Representative Ileka Atoki told the General Assembly's annual General Debate.
The UN action was the latest in a series of strikes against the rebel Ituri Patriotic Resistance Front (FRPI) in Ituri province, and comes less than two weeks after peacekeepers from the UN Mission in the DRC (MONUC) sent in combat helicopters against another rebel group in North Kivu province, to the south.
"MONUC is intervening with all the means at its disposal, including attack helicopters, to protect the civilian population which is in imminent danger," the mission said in a news release. "Moreover MONUC is cooperating with the DRC armed forces to re-establish state authority over the whole of Ituri."
Residual FRPI elements launched attacks on Monday against the army, capturing two camps and advancing towards the village of Aveba before they were repulsed by MONUC.
On September 19, UN helicopters opened fire on the rebel National Congress for People's Defence (CNDP) in North Kivu, forcing them to withdraw after they tried to take control of a town 60 kilometres from the region's main city, Goma.
Humanitarian and human rights organizations are reporting a sharp increase in the recruitment of child soldiers by armed groups in North Kivu, a crime against humanity and a violation of an agreement they signed at the beginning of the year, MONUC spokesman Michel Bonnardeaux told a news conference today in Kinshasa, the DRC capital.
Hostilities have continued in eastern DRC despite stabilization in much of the rest of the vast country, which was torn by years of civil war. On Monday, the DRC called for UN peacekeepers to be given a clear mandate and the resources necessary to impose peace by force if necessary.
"Confronted by the drama occurring in the east of the Congo, MONUC must be authorized to act, and can act in a convincing manner," Permanent Representative Ileka Atoki told the General Assembly's annual General Debate.
jeudi 2 octobre 2008
Ouverture des inscriptions à la loterie de visas d'immigrant pour 2010
(*AFI301)
On trouvera ci-après le texte de la note d'information que le département d'État a diffusée le 30 septembre 2008 au sujet de l'ouverture des inscriptions à la loterie de visas d'immigrant pour 2010.
(Début du texte)
Ouverture des inscriptions à la loterie de visas d'immigrant pour 2010
Les demandes d'inscription à la loterie de visas d'immigrant pour 2010 (DV-2010 Diversity Visa Lottery) doivent être soumises électroniquement à partir du jeudi 2 octobre 2008 à midi, heure de Washington (16 h GMT, heure moyenne de Greenwich) jusqu'au lundi 1er décembre à midi, heure de Washington (17 h GMT). Les personnes intéressées peuvent obtenir le formulaire électronique pour leur demande de visa (E-DV) sur le site Internet « http://www.dvlottery.state.gov (http://www.dvlottery.state.gov/) » pendant la période d'inscription. Les demandes faites sur papier ne seront pas acceptées.
Ce programme créé par le Congrès est administré chaque année par le département d'État et mis en œuvre conformément à l'article 203 (c) de la loi sur l'immigration et la nationalité (INA). L'article 131 de la loi de 1990 (Pub. L. 101-649) a modifié l'article 203 et prévoit une catégorie d'immigrants dénommés « immigrants pour la diversité ». L'article 203 (c) prévoit qu'un nombre maximum de 55.000 visas pour la diversité (DV) seront délivrés à des personnes originaires de pays dont le taux d'immigration aux États-Unis est faible.
Le programme DV annuel permet de délivrer des visas à des personnes qui remplissent les conditions nécessaires. Ces conditions sont simples, mais strictes. Les noms seront tirés au sort à l'aide d'ordinateurs. Les visas seront répartis entre six grandes zones géographiques, et les zones dont les habitants immigrent peu aux États-Unis recevront le plus grand nombre de visas. Les personnes nées dans les pays dont plus de 50.000 ressortissants ont immigré aux États-Unis au cours des cinq dernières années ne peuvent pas participer à la loterie. Dans chaque zone, aucun pays ne pourra recevoir plus de 7 % des visas pour la diversité pour une année donnée.
En ce qui concerne les inscriptions pour 2010, Les personnes nées dans les pays suivants ne peuvent pas participer à la loterie parce que plus de 50.000 ressortissants de chacun de ces pays ont immigré aux États-Unis au cours des cinq dernières années. Il s'agit du Brésil, du Canada, de la Chine (les personnes nées dans la Chine continentale),de la Colombie, de la Corée du Sud, du Guatemala, d'Haïti, de l'Inde, de la Jamaïque, du Mexique, du Pakistan, du Pérou, des Philippines, de la Pologne, de la République dominicaine, de la République populaire de Chine, du Salvador, du Royaume-Uni et de ses territoires (à l'exception de l'Irlande du Nord) et du Vietnam. Les personnes nées à Hongkong, à Macao et à Taïwan peuvent s'inscrire à la loterie.
La Russie fait de nouveau partie de la liste des pays dont les ressortissants peuvent participer à la loterie pour 2010. Le Kosovo figure également sur cette liste. Aucun pays n'a été rayé de la liste des pays admissibles pour 2010.
Le département d'État a adopté le système d'inscription électronique à partir de 2005 en vue de rendre ce programme plus efficace et plus sûr. Il se sert de dispositifs techniques particuliers et d'autres moyens pour découvrir les personnes qui ont recours à la fraude aux fins d'immigration illicite ou qui soumettent des demandes multiples. Pour la première fois depuis la création de ce programme, les personnes qui soumettent une demande peuvent vérifier en ligne l'état d'avancement de leur demande et savoir si leur demande a été acceptée ou rejetée. Les gagnants continueront de recevoir par courrier postal une lettre les informant de leur sélection.
Pour de plus amples renseignements sur les conditions d'inscription et sur les réponses aux questions les plus fréquentes, veuillez consulter, sur le site Internet du service des affaires consulaires du département d'État (http://travel.state.gov/visa/immigrants/types/types_1318.html), les instructions relatives à la loterie DV-2010.
(Fin du texte)
(Diffusé par le Bureau des programmes d'information internationale du département d'Etat. Site Internet : http://www.america.gov/fr/)
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On trouvera ci-après le texte de la note d'information que le département d'État a diffusée le 30 septembre 2008 au sujet de l'ouverture des inscriptions à la loterie de visas d'immigrant pour 2010.
(Début du texte)
Ouverture des inscriptions à la loterie de visas d'immigrant pour 2010
Les demandes d'inscription à la loterie de visas d'immigrant pour 2010 (DV-2010 Diversity Visa Lottery) doivent être soumises électroniquement à partir du jeudi 2 octobre 2008 à midi, heure de Washington (16 h GMT, heure moyenne de Greenwich) jusqu'au lundi 1er décembre à midi, heure de Washington (17 h GMT). Les personnes intéressées peuvent obtenir le formulaire électronique pour leur demande de visa (E-DV) sur le site Internet « http://www.dvlottery.state.gov (http://www.dvlottery.state.gov/) » pendant la période d'inscription. Les demandes faites sur papier ne seront pas acceptées.
Ce programme créé par le Congrès est administré chaque année par le département d'État et mis en œuvre conformément à l'article 203 (c) de la loi sur l'immigration et la nationalité (INA). L'article 131 de la loi de 1990 (Pub. L. 101-649) a modifié l'article 203 et prévoit une catégorie d'immigrants dénommés « immigrants pour la diversité ». L'article 203 (c) prévoit qu'un nombre maximum de 55.000 visas pour la diversité (DV) seront délivrés à des personnes originaires de pays dont le taux d'immigration aux États-Unis est faible.
Le programme DV annuel permet de délivrer des visas à des personnes qui remplissent les conditions nécessaires. Ces conditions sont simples, mais strictes. Les noms seront tirés au sort à l'aide d'ordinateurs. Les visas seront répartis entre six grandes zones géographiques, et les zones dont les habitants immigrent peu aux États-Unis recevront le plus grand nombre de visas. Les personnes nées dans les pays dont plus de 50.000 ressortissants ont immigré aux États-Unis au cours des cinq dernières années ne peuvent pas participer à la loterie. Dans chaque zone, aucun pays ne pourra recevoir plus de 7 % des visas pour la diversité pour une année donnée.
En ce qui concerne les inscriptions pour 2010, Les personnes nées dans les pays suivants ne peuvent pas participer à la loterie parce que plus de 50.000 ressortissants de chacun de ces pays ont immigré aux États-Unis au cours des cinq dernières années. Il s'agit du Brésil, du Canada, de la Chine (les personnes nées dans la Chine continentale),de la Colombie, de la Corée du Sud, du Guatemala, d'Haïti, de l'Inde, de la Jamaïque, du Mexique, du Pakistan, du Pérou, des Philippines, de la Pologne, de la République dominicaine, de la République populaire de Chine, du Salvador, du Royaume-Uni et de ses territoires (à l'exception de l'Irlande du Nord) et du Vietnam. Les personnes nées à Hongkong, à Macao et à Taïwan peuvent s'inscrire à la loterie.
La Russie fait de nouveau partie de la liste des pays dont les ressortissants peuvent participer à la loterie pour 2010. Le Kosovo figure également sur cette liste. Aucun pays n'a été rayé de la liste des pays admissibles pour 2010.
Le département d'État a adopté le système d'inscription électronique à partir de 2005 en vue de rendre ce programme plus efficace et plus sûr. Il se sert de dispositifs techniques particuliers et d'autres moyens pour découvrir les personnes qui ont recours à la fraude aux fins d'immigration illicite ou qui soumettent des demandes multiples. Pour la première fois depuis la création de ce programme, les personnes qui soumettent une demande peuvent vérifier en ligne l'état d'avancement de leur demande et savoir si leur demande a été acceptée ou rejetée. Les gagnants continueront de recevoir par courrier postal une lettre les informant de leur sélection.
Pour de plus amples renseignements sur les conditions d'inscription et sur les réponses aux questions les plus fréquentes, veuillez consulter, sur le site Internet du service des affaires consulaires du département d'État (http://travel.state.gov/visa/immigrants/types/types_1318.html), les instructions relatives à la loterie DV-2010.
(Fin du texte)
(Diffusé par le Bureau des programmes d'information internationale du département d'Etat. Site Internet : http://www.america.gov/fr/)
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