« Que la CPI poursuive aussi les gens qui ont envoyé les armes ici à cause desquelles on a arrêté les Thomas Lubanga », soutiennent plusieurs habitants du territoire de Djugu en Ituri, en Province Orientale. Ces habitants du territoire de Thomas Lubanga, ont mis à profit la visite du président de la CPI pour exprimer mardi leur voeux, rapporte radiookapi.net
Le président de la Cour pénale Internationale a effectué un séjour de 48 heures en Ituri. A l’issue de cette descente sur terrain, mardi, le juge Sang-Hyun Song s’est adressé à environ 400 personnes réunies dans la salle paroissiale de l’église catholique locale. Le fonctionnement général de la CPI ainsi que la question de savoir de qui cette juridiction internationale a reçu mandat d’intervenir en République Démocratique du Congo, sont là les sujets autour desquels ont tourné les échanges avec la population. D’entrée de jeu, le juge Sang-Hyun Song a révélé à l’assistance l’identité de celui qui a invité la CPI en RDC et pourquoi cette invitation a été lancée : « Le gouvernement de ce pays a invité la Cour pénale internationale à lancer ses activités sur la situation en RDC parce qu’il était incapable d’initier des enquêtes ou d’engager des poursuites. Il est illégal d’employer la force pour enrôler les enfants de moins de 15 ans dans des groupes armés et de les obliger à participer au combat. », a déclaré le président de la CPI comme pour légitimer, aux yeux de la population, l’arrestation de Thomas Lubanga. « Est-ce que nous avons des usines des armes chez nous ? », ripostent les habitants du territoire du congolais actuellement à la Hayes pour répondre des crimes de guerre et crimes contre l’humanité pour lesquels il a été interpellé. C’est ainsi que plusieurs de ceux qui ont suivi l’adresse du président de la CPI ont soutenu qu’il serait injuste d’arrêter seulement Thomas Lubanga. Ils avancent qu’il faut traquer ceux qui lui ont fourni les armes.Le juge Sang-Hyun Song s’est rendu, avant la fin de sa mission, au poste d’encadrement administratif de Fataki, une cité située à environ 100 kilomètres au nord de Bunia, en territoire de Djugu. Le président de la Cour pénale intenationale (CPI) est le premier haut responsable de cette cour à se rendre à Djugu, territoire d’origine de Thomas Lubanga
Le président de la Cour pénale Internationale a effectué un séjour de 48 heures en Ituri. A l’issue de cette descente sur terrain, mardi, le juge Sang-Hyun Song s’est adressé à environ 400 personnes réunies dans la salle paroissiale de l’église catholique locale. Le fonctionnement général de la CPI ainsi que la question de savoir de qui cette juridiction internationale a reçu mandat d’intervenir en République Démocratique du Congo, sont là les sujets autour desquels ont tourné les échanges avec la population. D’entrée de jeu, le juge Sang-Hyun Song a révélé à l’assistance l’identité de celui qui a invité la CPI en RDC et pourquoi cette invitation a été lancée : « Le gouvernement de ce pays a invité la Cour pénale internationale à lancer ses activités sur la situation en RDC parce qu’il était incapable d’initier des enquêtes ou d’engager des poursuites. Il est illégal d’employer la force pour enrôler les enfants de moins de 15 ans dans des groupes armés et de les obliger à participer au combat. », a déclaré le président de la CPI comme pour légitimer, aux yeux de la population, l’arrestation de Thomas Lubanga. « Est-ce que nous avons des usines des armes chez nous ? », ripostent les habitants du territoire du congolais actuellement à la Hayes pour répondre des crimes de guerre et crimes contre l’humanité pour lesquels il a été interpellé. C’est ainsi que plusieurs de ceux qui ont suivi l’adresse du président de la CPI ont soutenu qu’il serait injuste d’arrêter seulement Thomas Lubanga. Ils avancent qu’il faut traquer ceux qui lui ont fourni les armes.Le juge Sang-Hyun Song s’est rendu, avant la fin de sa mission, au poste d’encadrement administratif de Fataki, une cité située à environ 100 kilomètres au nord de Bunia, en territoire de Djugu. Le président de la Cour pénale intenationale (CPI) est le premier haut responsable de cette cour à se rendre à Djugu, territoire d’origine de Thomas Lubanga
(OKAPI)
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